Quand le ciel a perdu son soleil
Quand le matin ne trouve plus réveil
Quand le temps ne fait plus les choses bien
Je tente encore un dernier refrain
Seule face à moi-même
Quand t'es trop bas personne te ramène
Si je lève un peu plus haut la main
Les étoiles ne seront plus très loin
Lampe allumée, les yeux baissés,
Je suis sur la touche
Depuis que j'ai, j'ai trébuché,
On me dit louche
Moi, face à ces gens
Qui ne voient pas le monde autrement
J'ai appelé ceux que je pensais
Des amis proches
La vie est courte pour déranger,
Tous les gens raccrochent
J'ai jeté mes espoirs et reproches
Quand le ciel a perdu son soleil
Quand le matin ne trouve plus réveil
Quand le temps ne fait plus les choses bien
Je tente encore un dernier refrain
Seule face à moi-même
Quand t'es trop bas personne te ramène
Si je lève un peu plus haut la main
Les étoiles ne seront plus très loin
A la télé j'ai pas trouvé de
Héros qui ont connu ma peine,
Ils sont tous partis comme des guerriers,
Résignés comme des capitaines
Et moi, je lutte encore
En silence je suis la trace
D'un rêve que j'oublie en marche
J'ai le tournis, quand je me dis
Qu'on verra peut-être jamais la fin
De cette histoire, de ce chemin
J'ai pas peur, j'ai plus peur de rien, non
Quand le ciel a perdu son soleil
Quand le matin ne trouve plus réveil
Quand le temps ne fait plus les choses bien
Je chante encore un dernier refrain
Seule face à moi-même
Quand t'es trop bas personne te ramène
Si je lève un peu plus haut la main
Les étoiles ne seront plus très loin
Si je lève un peu plus haut la main
Les étoiles ne seront plus très loin
Si je lève un peu plus haut la main
Les étoiles ne seront jamais loin
Six heures du matin, j'ai pas dormi
J'essaye d'faire le point sur la nuit (mmh)
Après deux ou trois bubble teas
On a traversé Paris
J'crois qu'on s'est pas mal compris
Lunettes de soleil, même à cinq heures
Remontant la Seine en rollers
Quand j'ai voulu prendre le métro
Tu m'as dit que c'était trop tôt
On devrait aller ailleurs
Oh je vois dans tes yeux
Un bleu que je n'connais pas
Qui pourrait me plaire
Oh je vois dans tes yeux
Un monde que je n'connais pas
On devrait se taire
On a trop parlé, beaucoup roulé
Les bars à sept heures c'est surcoté
Après quelques regards complices
Le coeur en feu d'artifice
On a enlevé nos rollers
Huit heures du matin, j'ai pas dormi
La vie a repris à Paris
J'suis trop fatiguée pour rentrer
Et toi tu vis à côté
Pour s'aimer y a jamais d'heure
Oh je vois dans tes yeux
Un bleu que je n'connais pas
Qui pourrait me plaire
Oh je vois dans tes yeux
Un monde que je n'connais pas
On devrait se taire
Danse avec moi
Danse avec moi
Oh je vois dans tes yeux
Un bleu que je n'connais pas
Qui pourrait me plaire
Oh je vois dans tes yeux
Un monde que je n'connais pas
On devrait se taire
Oh (dans tes yeux)
Un bleu que je n'connais pas
(Qui pourrait me plaire)
Oh (dans tes yeux)
Tout un monde avec toi
(On devrait se taire)
Près de moi mon amour
On était plus forts
Je vis sur tes lèvres
Qui baisent mon corps
Et ma peau
Sous la tienne tremble un peu
Entre mes bras, contre ton sein, à genoux les yeux glissant sur tes reins,
La bouche en fleur, à mon oreille, chante la rose qui jouit au soleil,
Près de mon cœur, brûlent tes mains, touche le rêve d’une nuit sans fin,
Viens
Dors pas
Suis-moi
Près de toi mon amour
On était si beaux
Je vis dans tes yeux
Qui caressent ma peau
Et la nuit
Dans son lit dévoile nos vœux
Entre mes bras, contre ton sein, à genoux les yeux glissant sur tes reins,
La bouche en fleur, à mon oreille, chante la rose qui jouit au soleil,
Près de mon cœur, brûlent tes mains, touche le rêve d’une nuit sans fin,
Viens
Dors pas
Suis-moi
Entre mes bras, contre ton sein, à genoux les yeux glissant sur tes reins,
La bouche en fleur, à mon oreille, chante la rose qui jouit au soleil,
Près de mon cœur, brûlent tes mains, touche le rêve d’une nuit sans fin,
Viens, viens, viens
Dors pas
Suis-moi
Entre mes bras, contre ton sein, à genoux les yeux glissant sur tes reins,
La bouche en fleur, à mon oreille, chante la rose qui jouit au soleil,
Près de mon cœur, brûlent tes mains, touche le rêve d’une nuit sans fin,
Viens, viens, viens